Il n'existe pas d'exemption
médicale infondée pour les masques
faciaux, car la privation d'oxygène
est dangereuse pour tous les cerveaux.
Sur cette page:
https://laveritesansmasque.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html
la neurologue allemande Margarethe Griesz-Brisson déclare notamment:
"Il n'existe pas d'exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d'oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s'il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.".
C'est, par exemple, en se basant sur ce même principe et dans ce même état d'esprit que le Docteur Eve Engerer, une femme médecin alsacienne a courageusement délivré à ses patients, ainsi que sur son compte Facebook, un certificat d'exemption du masque valable pour "tout le monde" (abusivement qualifié par la presse de "faux certificats"), ce qui lui a naturellement valu diverses représailles (elle a en particulier été suspendue).
Pour la procédure "Le Droit de Respirer Librement", ce qui - selon l'avocat Me Jean-Pierre Joseph -, de la part des personnes participant à l'action, est utile à fournir comme pièces à conviction, ce sont des témoignages disant en substance:
"Tel jour à telle heure, sur la base de mon état de santé personnel ainsi que sur la base de ce que déclare notamment la neurologue Dr Margarethe Griesz-Brisson "Il n'existe pas d'exemption médicale infondée pour les masques faciaux", je me suis présenté(e) en consultation auprès de mon médecin, le/la Dr ------- (prénom, nom et adresse du médecin), et lui ai demandé de me délivrer un certificat médical d'exemption du port du masque, mais - craignant sans doute des représailles de la part de l'Ordre des Médecins - il/elle a refusé de m'en délivrer un (Prénom, nom, date et signature du déclarant).
ce qui suppose, naturellement, d'avoir préalablement effectué la consultation médicale en question.
L'intérêt de ce type de témoignages, selon Maître Jean-Pierre Joseph, c'est de montrer au juge que le citoyen conscient de la nécessité de protéger sa santé en n'infligeant pas à son corps une pratique lui étant absolument préjudiciable ne peut, dans la plupart des cas, rien obtenir de la part de son médecin, de sorte que c'est à la justice de lui rétablir son droit de pouvoir respirer librement (lequel fait naturellement partie des droits fondamentaux de l'être humain reconnus par la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et du Citoyen, puisque la liberté de respirer fait, bien évidemment, partie des libertés fondamentales!).
Par conséquent, les participant(e)s à l'action "Le Droit de Respirer Librement" sont invités à fournir de tels témoignages en les adressant, en pièce jointes, à l'adresse e.mail ledroitderespirer - arobase - protonmail.com (N.B.: l'adresse e.mail est volontairement décomposée en trois parties pour éviter d'être aspirée par les robots spammeurs, à vous de la rétablir en adresse e.mail normale). Pour avoir une valeur légale, les témoignages doivent être rédigés sur un formulaire officiel du Ministère de la Justice, téléchargeable, par exemple, en cliquant sur l'un des liens ci-dessous:
et être accompagnés du scan ou de la photocopie d'une pièce d'identité officielle avec photographie (passeport, carte d'identité, permis de conduire, etc.).
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